"There flowered a white tree (...) but seven stars were about it..."
(J.R.R. TOLKIEN, The Return of the King)
(J.R.R. TOLKIEN, The Return of the King)
Sombre aurore, le ciel a pleuré ce matin,
Larmes de mes yeux secs, et pleurs de mon chagrin
Qu'un vent trop froid a éclairé ; Et moi levant
Le cœur, j'implorai la fraîcheur d'un arbre blanc.
Sérénité, paix de l'âme, douce espérance
Sont en moi à présent ; Ainsi donc le silence
Par l'écrit (virtuel ?) est rompu. Et j'attends
De revoir une étoile, don d'un arbre blanc.
Qu'il vienne, ce crépuscule ! Que je te voie !
Triste ciel, pourquoi pleurer ? Mon cœur est en joie
Ce matin : la frayeur a passé au néant.
Douce aurore... Le ciel bas pleure ce matin.
Mais la nuit d'un hier a défait mon chagrin.
Douce es-tu, étoile, fille de l'arbre aimant !
Premier poème que je laisse à votre lecture, réellement composé aujourd'hui.
RépondreSupprimerHonneur à qui de droit : je l'ai écrit pour Céline, qui sera la plus à même de comprendre à quel "crépuscule" je fais référence...
Bonne lecture à tous ! N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.
Excellent... Je te connaissai un don pour tout ces truc de L mais la tu te surpasse.... Ils sont super beaux...
RépondreSupprimerBravo encore.... Je t'encourage vivement à continuer...
Deux ans après... Je continue. L'âme trop pleine pour n'en pas faire déborder quelque chose par l'écriture !
RépondreSupprimerMerci à ceux qui, comme toi Léo, me soutiennent depuis le début, ou depuis plus récemment. Merci à Céline, qui a déclenché involontairement tout cela. Et merci à Celui qui, plus encore, est la source de toute beauté au fond de moi !